AVERTISSEMENT: Vous qui lisez cette petite parodie, vous êtes dans l'ILLEGALITE ! En effet, l'auteur de cette page ,c'est
à dire votre serviteur,, se trouve
lui-même dans l'illégalité. Il a demandé à Yan Quib , l'autorisation de
publier ce pastiche: REFUSEE !
Or, Yann Quib lui même est dans l'illégalité dans la mesure ou il a modifié ce texte 1 sans en référer au véritable auteur - qui reste mystérieux ----1 -Ouais, le texte n'est pas tendre pour Marseille !!! Ce doit être un "Parisien" l'auteur mystérieux !!! Donc, bravant la loi , les foudres "forumiques" de Yan Quib*, pour vous informer et vous distraire, j'ai décidé de publier quand même ce qui (ne) restera (pas) un chef d'œuvre: cette petite parodie sur Marseille |
Aux Ayants-Droit, J'espère que l'idée vous plait ...et que vous ne vous servirez pas l’article 227-23 ( ou autre ) du Code Pénal pour me contraindre, par la loi et par la force, à appliquer une loi....qui n'a pas lieu d'être en Renaudie !
PS: Yann est tenu au courant de cette " Publication-Citoyenne" SVPat |
PUBLICATION-CITOYENNE PUBLICATION-CITOYENNE PUBLICATION CITOYENNE-
M.A.R.S.E.I.L.L.E
By Yann quib
Sur l'air de Fatigué de Renaud/F. Langolff
Jamais une bastide
au devant du Vieux-Port
ne rendra à Marseille
le charme du passé.
Où ça gueulait merveille,
d'vant la peste ou la mort,
où c'était le bistrot
d'la méditerranée.
Enculé, enculé!
Voilà c'que c'est dev'nu,
le Marseille que j'aimais.
Pagnol s'y est perdu,
quand l'OM s'est r'trouvé,
applaudit par des culs
qui savent plus que péter.
Enculé, enculé !
Et au milieu des ruines
de la ville phocéenne
où ça sentait l'poisson
tout autant qu'le henné
y'a plus que de jeunes cons
qui nous rapent leur haine
à g'noux devant Zidane
et la dernière béhème.
Si demain y'a un chef
à ce troupeau de glands,
c'est sans doute l'gros Santos
qui à coup d'bulletins blancs
s'ra élu comme le maire
du Marseille décadent
où à chaque élection
le FN monte d'un cran.
Enculé, enculé !
on entend plus que ça,
que veux tu ajouter ?
Quand la moitié des posts
sortent d'un égout crevé
qui nous r'monte les odeurs
de ta trop vieille cité .....
enculé... enculé...