By Renaud 

Ben moi couché à 2h30 et réveillé-levé à 6h30 by Malone qui voulait me piquer ma place à mon bistro-milk-bar préféré....
4 heures de sommeil ça m'va. Ça m'laisse 20 heures pour profiter de la vie, cette salope qui est si courte et qui finit si mal.
Dans deux heures direction la prison de Bapaume où je vais offrir une "fête de la musique" à quelques humains sûrement un peu barbares. Sont déjà privés de liberté alors why not une petite heure ou deux d'évasion...
Hier pas dégueu... Merci du bel accueil réservé à mon gendre heu... Pardon, à mon pote à ma fille et moi.
Merci à Jacque Yvart pour sa présence et sa fidèlité, merci à mes cons-d'belges préférés de mon forum à moi que j'ai, merci Ticou, t'as oublié de noter je j'avais fait aussi H.L.M au pied levé, pas répété ni joué depuis quatre ans....
Et merci pour ce "dernier terrain vague et ces vagues de dunes pour arrêter les vagues" où Malone et Romane ont profité du soleil couchant de ce putain de jour le plus long de l'année pendant que Papa inaugurait son premier concert sans cravate de cette tournée Rouge-Bandana...

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By Titi via @Mail

Il est à peu près 19h50 quand nous arrivâmes moi et mon oncle devant le Kursaal !!
Le temps d'aller cherché les places (Encore merci à Olivier et à Ado) pendant que mon oncle puisse trouvé une place. à l'intérieur la salle était presque bourré car il n'y avais plus de place assises  nous étions donc obligé de resté debout et à attendre l'entrée en scène du Frangin car il arriva sur scène avec 30min de de retard, enfin bref d'entrée d'jeu notre frangin démarre ce tour de chant avec comme d'habitude "Malone".
Après un bref discour notre Frangin continue avec "marchand de cailloux" suivi de "500 Connards sur la ligne de départ" pour attaquer ensuite avec "Docteur Renaud Mister Renard" (en nous évoquant brièvement de Boucan d'enfer et de sa tournée d'enfer).
Ensuite place à la surprise c'est là que Renaud nous apprend qu'il va chanté à la prison de Bapaume, bon OK mais la vrai surprise est que notre chanteur nous a fait une répet enfin il a nous chanté "Petit Voleur", ensuite Renaud continua ce spectacle avec "Elsa" suivit de la chanson pour Ingrid Bétancourt "Dans la jungle" et de Carvane.... Heu... qu'es que je raconte moi ??? Non, "Manhattan-Kaboul" et pour le reste pas besoin d'en faire tout un plat..... enfin petite anecdote notre frangin nous a quand même sortie deux bonnes blagues sur les chats et sur les patron mais sinon on aura quand même eu droit à:

- La pêche à la ligne
- Léonard song's
- Dylan
- Dans mon HLM
- Hommage à Lolita (En cloque, Morgane de toi, Mistral Gagnant, Babysitting Blues, C'est quand qu'on va où, Mon amoureux, Elle a vue le loup et Adieu l'enfance)
-"Renan Luce" (un invité surprise) qui nous a chanté " Repenti"
- Baltique
- les bobos
- pot pourris (Je suis une bande de jeune, La bande à lucien, Laisse béton, Ma gonzesse, les charognard, La Blanche, la tire à dédé, Deusième génération, Manu)
[à noté que Renaud a eu un probléme de guitare et a du terminer son pot pourris avec la guitare de Mikael Ohayon]
- Hexagone
- Son bleu
- Dès que le vent soufflera
Et Rouge Sang pour conclure ce magnifique concert 

Je n'ai malheureusement pas pu rencontré Renaud car je n'avais pas de pass  mais j'ai quand même pu aller le voir une dernière fois en l'attendant comme plusieur fans devant son autocar

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Un "petit" CR?

Bon, d’abord le trajet. Bouchon sur notre périf’ à nous, qu’ici on appelle le Ring de Bruxelles.
Et si on n’y boxe pas, on y est quand même souvent dans les cordes. Je roule au pas entre des semi-remorques finlandais et biélorusses qui vont sans doute à Anvers ou à Calais, tout en écoutant l’unplugged de Neil Young, pis « Après la pluie » de Madame Romane, Gram Parsons et aussi Renan Luce. A ce moment, je ne sais pas encore que je vais lui serrer la pince en fin de soirée !

(à suivre)
By Ticou de l'Anti fan

Arrivé vers 17h30 en bord de mer, à Dunkerque, je trouve à me garer dans une petite rue parallèle au littoral. Sortant de voiture, je suis surpris par un air tiède et iodé. Pas besoin de chercher longtemps, les cars et les camions du chanteur sont garés devant ce bâtiment allongé qui ressemble à un vaisseau échoué sur la plage.

(......)
La salle ? Spéciale. Pas immense, des gradins assez étirés qui se remplissent rapidement. Difficile à ce moment de dire si l’acoustique sera bonne.

Bonjour à l’un, à l’autre… Près de deux heures d’attente, debout dans la fosse, une chope à la main. Gweny tente de chauffer le public, branche un certain JP, appelle de ses cris « Pascaaal » (Obispo dont le nom barrait toute la façade du bâtiment…).
Une audacieuse m’ayant repéré pour ma grande taille me demande si je suis prêt à prendre une photo de Renaud pour elle tout à l’heure. Je lui explique que l’Idole flingue sur pied ceux qui osent le prendre en photo, mais elle ne me croit pas. J’insiste auprès de l’incrédule : « Si il voit, en plus, que c’est moi qui flashe, je suis mort… , !! »

Ticou de l'Anti fan

La salle chauffe un peu et scande un prénom. Avec un bel accent nordiste. Finalement, ayé : l’Irlande débarque sur scène. Et surprise : Renaud, ayant donné toutes ses cravates rouges aux mômes qui font ses chœurs, n’a plus qu’un vieux bandana rouge à se mettre au cou sur la fin de la tournée!

Le son est un peu dégueu sur les premiers titres. Mais quand, après quelques chansons, il nous demande si la musique ne va pas trop fort et si sa voix passe bien, nous, comme des cons, on répond d’une seule voix que c’est tout bon…
Heureusement, ça s’améliore et la voix devient de plus en plus nette.

Renaud chambre toujours Bucolo pour son vote présidentiel mais un peu moins. Et il ne charrie plus les autres musiciens sur leurs choix du mois de mai.

Pas un mot sur le « décor-qui-coûte-bonbon » qui, ici d’ailleurs, n’a pas l’air complètement déployé (largeur insuffisante de la scène ?) Mais Sarko et les sarkozistes en prennent dans les gencives.

Un inédit dans la set list (...) : "Petit Voleur", en guise de répet pour l’interprétation prévue le lendemain à la prison de Bapaume. Et le HLM aussi. Blême, comme des murs de prison...

Arrive le moment des blagues : sur certains concerts, c’était une, pis deux sur d’autres. Cette fois, c’était trois, malgré le soupir (faussement véridique des musiciens qui craignent de terminer au-delà de minuit)

Vient le moment où The Beat nous présente son gendre son ami Renan Luce. Le voyant s’installer sur le tabouret, j’éprouve une crainte pour lui. Va-t-il être apprécié avec ce genre de chanson, seul, devant ces milliers de personnes venues pour Renaud ? Eh bien oui, ça fonctionne à merveille dès les premières notes. La voix est belle, pure, et « Repenti » est écoutée avec beaucoup d’attention par les fans de l’Idole qui, elle-même est bluffée une fois encore, skotchée sur l’avant droit de la scène.
 

Ticou de l'Anti fan

Le medley Lolita est brillant comme d’hab. Et le chanteur confiera que c’est plus impressionnant pour lui encore quand Lolita est dans la salle, ce qui est le cas… Du coup, applaudissements pour la sblorfeuse-chroniqueuse-conteuse...

Le medley banlieue sera entrecoupé de changements de guitare. Blague de potache ou vrai problème ? La guitare à Renaud sonne comme une casserole. Marco vient lui apporter la guitare de Micky (Ohayon). Mais il va en avoir besoin pour Hexagone… et Renaud se retrouve à nouveau avec sa guitare désaccordée mais raccordée. Bucolo lui-même vient la soigner aussi, profitant de l’avant de la scène pour se faire acclamer par ses inconditionnel(le)s

Entre temps, on a aussi eu droit à une superbe interprétation de « Dylan » (j’adore l’harmonica et les claviers, ça s’explique pas).

Et on a chanté pour Ingrid encore aussi. Comme depuis trop longtemps, dans l’espoir que ça bouge enfin. Puis on a pensé à Léonard, privé lui aussi de liberté. En chantant bien fort qu’on les enc… bien profond, ces connards à chaque fois que les lights nous inondent de lumière blanche.

Le public debout pour « Dès que le vent soufflera » ne se rassie pas sur « Rouge Sang » malgré les craintes du chanteur que cette chanson ne soit pas assez forte pour conclure. J’ai l’impression du contraire. Quel envoi final !

Dix minutes plus tard on démonte déjà à tout berzingue. Avec quelques antifans, on poireaute ... Ils finiront pas laisser passer tous les trois
On salue Lolita et Renan. Compliments à ces deux timides (un peu moins que moi, quand même !). Renaud est descendu de sa loge… prêt à partir. Un comble : on se fait presque engueuler parce qu’on serait tard alors qu’il se faisait ch… en nous attendant ! lol

On remet le sachet de bonbecs confiés par Olivier-le-Renard (Lolita projette d’en faire son ordinaire durant le trajet). On papote un moment dans l’escalier. Je rends service en jouant les photographes pour une nana bouclée qui veut poser à côté de notre idole à nous (ça m’a fait repenser que j’ai toujours pas de tof de moi avec mon idole, tiens…)

(à suivre; désolé, c'est long, mais ce sera le dernier épisode) Bon, fin bientôt, sinon ce sera plus long que toutes les chroniques de Yomgui réunies !

 

Ticou de l'Anti fan

Puis descente au rez. Dehors, des groupies hurlent « Renaud, Renaud » de l’autre côté de la grille. Sentimentales ? Mon cul. Euh, pis ça fait un peu peur, c’est vrai.

On se retrouve devant le hall où y a plus de 16 à se jeter derrière le col. Seuls des papiers gras sous les pas pressés des roadies.

Now the seats are all empty
Let the roadies take the stage
Pack it up and tear it down
They're the first to come and last to leave
Working for that minimum wage
They'll set it up in another town
Tonight the people were so fine
They waited there in line
And when they got up on their feet they made the show
And that was sweet--
But I can hear the sound
Of slamming doors and folding chairs
And that's a sound they'll never know (Jackson Browne)

L... et les siens dénichent une affiche de Polnareff qui viendra ici le 8 août mais qui laisse sa promo traîner par terre.

H... nous raconte des souvenirs de concerts encore. Puis on se salue en songeant déjà au 29 septembre et au car qui emmènera peut-être les « cons-d’belges » qu’on est si l’un de nous arrive à l’organiser.

La route de retour… Pas un chat (ou alors ils sont noirs, et je ne les vois pas) jusqu’à Ostende. Puis à peine quelques routiers vers Bruxelles. Je me dis que la vie de la route, c’est spécial, enthousiasmant… Que j’aurais dû faire routier ou chanteur.
Toujours un peu difficile de replonger dans la vraie vie après avoir vécu un chouette moment comme ça. Petit coup de blues.

2h30, me v’là rendu. Un bref CR illico sur le bistrot de Rouge Sang*(1)* et un bref dodo avant une journée au taf. Pareille aux autres…

*(1)* Voir Prelier sujet de la page ...

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By Greenpuce via @Mail

Amis du foot, bonsoir et bienvenue sur Fans-Radio !
Si je vous retrouve ce soir, c'est pour vous faire vivre, en direct sur nos ondes, l'un des derniers matchs de la saison du "Championnat de Coupe de France et de Partout, des Artistes Champions".
Comme le savez, ce dernier n'a pas pu être retransmis sur la chaîne télévisée habituelle
en raison d'une importante interview politique prévue à la même heure.
 

Mais sachez que c'est dès 18 h40 que les supporters ont envahi le Kursaal, dans une ambiance bonne enfant.

Imaginez : près de 3500 personnes, dont la plupart arborant les couleurs de leur favori (et le célèbre bandana rouge) sont venus acclamer leur équipe préférée.
Autant dire qu'à l'heure où je vous parle, les gradins sont noirs de monde et le public est prêt à "mettre le feu".

Pour les auditeurs qui prendraient tout juste l'antenne, nous sommes en direct de Dunkerque, Dunkerque qui reçoit l'équipe "ROUGE SANG".
Pour mémoire, je vous rappelle que cette dernière est imbattable depuis le début de la tournée ...
Heu, pardonnez moi, je voulais dire depuis le début de la saison, le 23 février, jour du fameux déplacement à Caen.
Et oui, on ne compte plus les triomphes absolus, même devant les plus grands, que ce soit chez les Girondins de Bordeaux le 5 avril, face aux Verts de Saint Etienne 20 jours plus tard, ou devant les Ch'tis de Lille le 5 mai dernier .
Et que dire de la rencontre historique avec les Canaris de Nantes le 11 mai ? Une soirée inoubliable !
Si l'on excepte quelques résultats mitigés comme à Limoges, à Montpellier, ou à Rennes, force est de reconnaître que nous avons là une véritable équipe d'enfer.

Ah ... je crois que la rencontre va bientôt commencer car les protagonistes ont pris place devant un public déchaîné.
Oui, oui, il est un peu plus de 20 h 30 et le coup d'envoi vient d'être donné, à l'instant même, par le meneur de jeu, Renaud, qui attaque la soirée par un magnifique "Malone". Geoffrey Richardson, à la flûte irlandaise, l'accompagne admirablement.

Oh ! une Grooooossse erreur vient d'être commise par l'équipe des Amateurs de Photos Numériques, qui abusent réellement de la situation. Un penalty est sifflé.
Fantastique : Renaud ouvre le score dès la 11ème minute.
Remise en jeu, avantage aux Rouge Sang.
Bien envoyé le "500 connards sur la ligne de départ". C'était une belle attaque, l'équipe Rouge Sang contrôle toujours le jeu.

Et voila Michael Ohayon qui remonte tout le terrain, avec son style bien rock pour "Arrêter la clope".
Et Renaud, arrivé par le côté gauche, vient de réaliser un tâcle réussi à l'encontre de quelques personnalités politiques du moment, avec "Elle est facho" et les commentaires d'usage sur sa célèbre chute. Pas de doute, Renaud est en pleine forme ce soir.

On assiste à l'instant à un dégagement en touche sur une "carrière qui touche à sa fin", entraînant de vives réactions parmi les supporters qui sifflent à tout va.

Magnifique une-deux entre notre attaquant Renaud et son avant-centre Jean-Pierre Bucolo pour conclure le "tube" de l'année 2003 : "Manhattant-Kaboul".

Belle récupération de Titi et reprise de volée de Renaud qui, par un bel amorti, calme le jeu avec "La pêche à la ligne". Il passe à l'ailier Alain Lanty avec une jolie référence au Prince de Ligne.
Mais Lanty dégage sur Bucolo qui s'est bien démarqué et qui relance le jeu (et les plaisanteries) sur les piètres performances de notre Renaud, pêcheur à la mouche.
Ce dernier s'en tire par un dégagement en touche avec une pause "histoires drôles" .

Rapide remise en jeu et puissante frappe de Renaud en direction des pouvoirs publics américains sur "Léonard's Song".
Et voici maintenant un très beau "une-deux" avec Lanty pour "la Médaille" .
La voix de Renaud, seule , sur la mélodie du piano : un instant carrément magique !

Toute l'équipe est actuellement en défense, mais Renaud organise une belle contre attaque avec un "HLM" plus que percutant.
Sur cette action, c'est le batteur Dominique Grimaldi qui est le mieux placé, à proximité du point de corner .

Mais, que se passe-t-il ?
Un joueur est sur le point de rentrer sur le terrain ?
Oui, tout à fait. Il s'agit du numéro 8, Renan Luce, qui vient saluer les supporters alors que Renaud regagne les vestiaires quelques instants.
Faire rentrer ce jeune joueur juste à la fin de la première mi-temps est une innovation.

Le public l'acclame déjà. Il faut dire qu'avec Renan Luce, le talent n'attend pas le nombre des années.

Tiens, Renaud revient avec Philippe Draï, le batteur, sur ses talons, qui tente le difficile exercice du petit pont, mais Renaud récupère et ne se laisse pas déborder sur cette action.

Fin de la première mi-temps. Tous les joueurs retournent aux vestiaires.

Mais, à l'instant même, Renaud réapparaît et il engage, alors que ses co-équipiers ne sont pas encore revenus.
Le voilà maintenant qui enchaîne, tout seul à la guitare "Je suis une bande de jeunes", "Laisse béton", ... Bien sûr, il joue perso, mais le public en redemande.

Ah, tiens, je vois que Renaud s'arrête tout net devant "La bande à Lucien" : il a l'air en difficultés.

Oh là là, c'est la Takamine 12 cordes qui semble blessée ... apparemment une contracture musculaire au niveau du Do. L'équipe médicale est appelée d'urgence sur le terrain en la personne de Marco et la Takamine est immédiatement évacuée tandis que Renaud continue avec "Ma gonzesse" sur la guitare de Marco .
Et ça y est, il repart à fond : "Les Charognards", "la Blanche ", ... plus personne ne peut l'arrêter.

Mais voici que la Takamine revient à ses côtés, les soigneurs ont réussi à la soulager. Elle va donc pouvoir terminer la rencontre. Et surtout, elle ne sera pas forfait pour la suite de la saison !

Et voilà Renaud qui relance une attaque avec "Hexagone" ; ses coéquipiers reviennent à sa hauteur pour l'épauler. Tout le Kursaal est debout, c'est du délire.
Ah, je vois Jean-François Berger qui surgit sur la gauche de Renaud. Joli dribble de la part de ce dernier : Tintin est neutralisé.
La rencontre touche à sa fin, plus que quelques minutes à jouer...

Oh, encore une très belle offensive de Renaud sur les accros du portable, qui se laissent de nouveau surprendre.
Et c'est le but, en pleine lucarne !

Coup de sifflet final, la rencontre se termine donc sur le score de 2-0 pour l'équipe Rouge Sang, score mérité pour ces joueurs plein de talent.
D'autant plus que prochainement, l'équipe Rouge Sang disputera d'autres rencontres de haut niveau, notamment à Lyon et à Auxerre .

Le public du Nord aurait d'ailleurs aimé voir les Rouge Sang jouer chez les Sang et Or de Lens, mais le calendrier de la tournée ... euh, je veux dire du Championnat est déjà trop chargé pour pouvoir rajouter des dates.

Il est un peu plus de 23h30, c'est l'heure du flash d'informations.
Merci d'avoir suivi cette rencontre en direct avec nous. Et encore BRAVO à Renaud et à son équipe.

Ici Greenpuce depuis le Kursal de Dunkerque, à vous Paris