En découvrant le lien suivant, vous en saurez plus et même tout, sur l'affaire ! De détournement d'une oeuvre, à son utilisation frauduleuse, de plagiat à marchandises de mauvais goût, de sites fantômes à vendeurs peu scrupuleux, tous les incrédients pour un bon procés
Marc Large et David Séchan ne se font pas beaucoup d’illusions.
D’abord parce qu’Amazon a le statut d’hébergeur
et non celui d’éditeur. L’entreprise n’est donc pas responsable des contenus mis
en ligne. Ensuite, parce qu’identifier et localiser les sociétés qui
commercialisent ces contrefaçons relève de l’impossible. Elles sont toujours
basées à l’étranger, aux États-Unis, en Angleterre, en Russie ou ailleurs et
elles disparaissent rapidement, souligne le frère de Renaud.
Malgré les obstacles,
Marc et Renaud ont déjà obtenu un premier succès. Les objets commercialisés
illégalement ont disparu du site d’Amazon qui affirme interdire la vente de
produits contrefaits et déployer les moyens nécessaires pour éviter que cela se
produise. Mais d’autres plateformes de vente en ligne telles que Rakuten
(ex-Price Minister) et Ketshooop sont aussi dans le collimateur et n’ont
toujours pas retiré les produits incriminés.
Large
@marclarge
Suite.
Amazon est défendu par une loi : pas responsables de leurs produits. Quelqu’un
peut donc y mettre Mein Kampf, ou un guide de pédophilie ? Ils surtaxent les
éditeurs, concurrence déloyale aux libraires et donc aux auteurs, exploitent
leur personnel et ne paient pas d’impôts