Concert au Zénith, ça
rime avec Mathématiques ?
Après le théorème de Pythagore, la formule du
binôme de Newton, et les théories de la relativité d’Einstein, voici le
théorème de Greenpuce…
Principe : La multiplication exponentielle des Concerts de Renaud (Cⁿ),
considérée sur l’instant (i) d’une Tournée (T), Tournée de rayon
parfaitement hexagonal (r = c / 2
π
) depuis plusieurs mois (x * m), produit un plaisir décuplé chez
l’ensemble des fans (P¹º). Démonstration : 1ère
partie : Cos(Gauvain)²
Soit, ƒ(x) = P¹ / 30mn =
{√ (G+M)² } = √(G² +
2 GM + G²) } X 85C/8m 2ème
partie : Log (Renaud) * 6‰
Soit, ƒ (y) = 90C *1h30 = ∑
∫ R [ (mO + jfB + gR)³ X
(phD + mP + Ev)³ ]
Résultat :
=>
ƒ(x)
+ ƒ (y)
=
SUPER
CONCERT ! ! !
© Greenpuce - 20.05.2017 😊 😊 😊
Nicolas GANZ ( 19.05.2017)
Une belle soirée de mai au
Zénith de Paris pour commencer un week-end chargé en émotions, dès ce vendredi
pour l'avant der' parisienne de Renaud avant les festivals d'été.
Arrivé sous le soleil de la Porte de Pantin à 18 H
35, j'emprunte le chemin bordé d'arbres vers cette enceinte qui nous est si
familière depuis 1984.
Vers 19 heures, les gradins commencent à accueillir les premiers fans et la fosse, prise d'assaut par les premiers fidèles, est encore clairsemée ... Mais pas pour longtemps, car la marée humaine remonte vite pour le Frangin tels les pogos des supporters parisiens au Parc des Princes.
19 H 50, la soirée zic peut commencer avec les vers engagés et folkloriques de Gauvain Gauvain Sers en duo guitariste avec son compère corrézien Martial Bort en première partie. Gauvain, le plus parisien des creusois, aura mis le public Renaudien " dans sa poche " au fil les 85 dates de tournée du Phénix ( ce soir compris ).
20 H 40, le Phénix renaît une
nouvelle fois, sortant du tunnel pour une première pour ovation à l'entame de "
Toujours Debout ! ".
Renaud l'est bien, " Toujours vivant ", nous ses
sauvageons on est tous rassurés.
Son timbre de voix me séduit toujours, rocailleuse
aujourd'hui et aux vers acerbes naguère, j'arbore avec délice ce tatouage
musical qui me colle à la peau.
Sa tendresse légendaire pour
l'enfance avec son accueil des " petits " de moins de 12 ans en avant fosse ne
surprend personne, et fait écho à son attention aux autres.
La moindre panne technique ( coupure de retours son
dans l'oreillette ) ne le déstabilisé pas plus qu'un reporter radio qui se
retrouve seul en direct sans filet mais sans relais : chapeau l'artiste !
2017, l'année des 40 ans de
Gérard Lambert que Renaud lui fête depuis son Anniv' le 14 avril entonnant " La
triste et lamentable histoire " de ses Aventures au guidon de sa mob'. Sorte de
" Petit Prince " des temps modernes tendance loubard.
Je raffole comme tous ses ami(e)smours de ses
scénarios en vers et riches de rimes drôlissimes !
Lambert n'a heureusement pas éclaté la tête du " petit prince de mes deux " " d'un coup de clé à molette bien placé entre les yeux ", mais il a dégagé d'un coup de latte incisif et bien trempé le " Déserteur " pour taper toujours et de bon coeur sur les maréchaux décorés de " La médaille " en lambeau au fil mots.
Lolita et son tit frère Malone n'ont peut-être pas été si sages ces temps-ci car pas de dédicace pour eux deux : ce vendredi 19 mai " Morgane de toi " et " Ta batterie ", le beau slam de la résurrection, sont mis au banc du bac à sable, comme " Son bleu " toujours depuis quelques longs mois déjà à attendre l'artiste sur son cintre dans la loge.
Pour nourrir sa mob', Lambert
a tellement siphonné de litres d'essence dans l' réservoir d'une bagnole que
même les 500 connards se sont retrouvés vent debout et n'ont pu prendre le
départ de la chanson.
Bref, quand Gérard Lambert parle et qu'il " articule
quand il bafouille " ça déménage !
Moi, après mon dîner
sandwiches épais comme ceux SNCF avant et après Gauvain, je déménage de ma vigie
gradin direction la fosse avant les trois coups.
Me faufilant parmi les fidèles, je rejoins les
premiers rangs et j'aperçois le bandana rouge et blanc sur la tête d'une jolie
flamme rousse, ma grande sœur de Renaudien Alexel Fanfan .
Nous nous sommes retrouvés en fin de concert pour un
goût et jus d' fruits, un selfi avec Bénabar venu t'applaudir, Frangin, et une
histoire de fin de soirée à dormir debout, toujours, même si ... Fatigué(e) !
Motarde, Alexel est venue
Porte de Pantin au volant de sa superbe bécane suzuki.
La fausse note de la soirée est venue d'une panne de
batterie, pas celle d'Amaury ni de son successeur Philippe Dray, mais bien de la
batterie à plat de la moto d'Alexel, complètement déchargée ...
Comme dans le milieu des marins, les motards sont
solidaires : deux jeunes motards, Sébastien et Cédric, ont tout fait pour nous
aider à ranimer la batterie pour redémarrer la moto. En vain.
Mais quel plaisir d'avoir
retrouvé ma grande sœur Alexel que j'embrasse avec mon affectueuse amitiés !
Bon concert ce soir pour toi, Brigitte Decampenaire,
Coeur de Verre, Régis Richaud, Francine Beaucier, Christophe Coutant Martin,
Delphine Robert, and co.
Ce soir au moment des saluts,
puisse notre chanson sur l'air de " Petite " venir à mes oreilles, moi qui
devait être parmi vous ce soir pour l'apothéose de fin de tournée pré-été.
Je suis de tout coeur avec toi Frangin Renaud, et
avec vous tous, par la pensée depuis le Lubéron. Précisément depuis Lourmarin où
je suis descendu avec mon parrain, disparu le 16 juin 2016, pour disperser ses
cendres.
Encore mercis mille fois, beaucoup, infiniment, du fond de le coeur, mon Frangin Renaud bien aimé.
Qui voit Greenpuce et Nico, voit aussi Korrigand
Samedi soir, il fait beau, il fait bon … un soir à faire la fête !
Petit passage obligé (et pas très agréable) par la sécurité, très bon accueil en pénétrant dans le hall du Zénith, un petit arrêt du côté de la boutique, comme ça, pour voir et après une volée de marches, nous atteignons la salle où aussitôt une jeune femme sympathique nous accompagne à nos places, d’après elle, d’ailleurs, il paraît que « le public de Renaud est un public super sympa ».
Installation, repérage des copains, préparation des briquets à portée de mains, la salle se remplit, nous sommes prêts à accueillir Gauvain et Martial, que le public réclame bruyamment depuis quelques minutes.
Les voici, les voilà ! Applaudissements fournis, une petite nouvelle à leur répertoire, pas mal du tout d’ailleurs, nous les retrouverons tout à l’heure …. Ah, oui, pendant que j’y pense, je vous rappelle que leur 1er album sera dans les bacs le 9 juin, mais non, mais non, ce n’est pas de la pub !
… Et bientôt, nous apercevons l’entrée du tunnel, les premières notes de Toujours Debout, qui ce soir pourrait aussi s’appeler « Tout l’monde debout », ça chante, ça tape des mains, des pieds aussi, ambiance dingue … le couple à ma droite a dû se tromper de concert, assis bien droit au fond de leurs sièges, les mains sagement posées sur les genoux, sont vraiment décalés ces deux-là, ils ne bougent (pas beaucoup) que pour prendre des photos. Incident tout à fait inattendu, brusquement plus de son ! Que se passe-t-il ? On s’affaire à la Régie, c’est vite reparti, tout va bien.
Les chansons s’enchaînent, entrecoupées de commentaires, plaisanteries, remarques, comme d’habitude, même sans doute plus que d’habitude, Renaud, malgré sa rhinopharyngite, , parle, discute, blague, raconte entre chaque chanson, comme s’il voulait, ce soir de dernier concert, rattraper les 10 ans perdus. Je ne sais pas ce qui se passe dans la fosse, mais dans les gradins, c’est du délire. Sitôt que les applaudissements faiblissent, hop, ça repart au refrain, qui est repris en chœur et lorsque Renaud annonce la dernière chanson, il n’y en aura pas d’autres, etc. …… c’est le dialogue entre lui « non » et le public « Si », bien sûr, nous gagnons, qui c’est les plus forts, évidemment le public, m’enfin !
J’ai beau guetter l’apparition des petites flammes dans la fosse, je ne vois rien, mais il semble que la « chanson pour Renaud » ait bien été chantée mais que, comme de sales gosses indisciplinés que nous sommes, nous faisions trop de bruit dans les gradins. Vraiment désolée si Renaud n’a rien remarqué, je f’rai plus, M’dame, je s’rai sage, tiens, comme mon voisin !
Bon, ça se termine, la scène se vide, oh, pas longtemps, déjà les techniciens sont là pour commencer le démontage.
Encore un concert qui a passé beaucoup trop vite. Comme d’hab, je n’ai plus de voix, j’ai la paume des mains qui me brûle, mais purée, qu’est-ce-que c’était bon !
Rendez-vous à La Courneuve le 17 septembre, d’accord ? Qui a dit qu’il allait pleuvoir, c’est même pas vrai !
PS: Jamais vu (ni entendu) un public comme celui d’hier soir, je pense que, malgré sa fatigue, il a passé une très bonne soirée, l’frangin, tout comme nous.