L'ombre de toi même (A Renaud Séchan)
Paroles
et musique: Guillaume Deininger
Au creux de
la vague
Tu tisses ton mal être,
Toi le poète aux santiags,
Qui n'est pas prêt de disparaitre!
Tu te jettes un p'tit Duval
Anises ta solitude,
Et tu repenses aux folles cavales,
A tes mentors, tes interludes!
Personne, ne te prendra la main,
Ne choisira ton destin,
Ne chantera tes refrains,
Pas même l'ombre de toi même, mais bien le phénix.
Absinthe regard amer,
Fixant la douce Sorgue
Ne ressentant plus de colère
Ni de soupire ou de point d'orgue!
Les vautours tournent en toi,
Et ne pensent qu'à l'oseille
que t'as gagné à ton réveil,
Quand tu chantais Morgane de toi!
Personne, ne te prendra la main,
Ne choisira ton destin,
Ne chantera tes refrains,
Pas même l'ombre de toi même, mais bien le phénix.
L'amour n'arrive qu'une fois,
Mais ne te comblera
Que si tu as la paix en toi,
La volonté te guérira!
Mon sourire, un clin d'œil,
Dans ton rétroviseur,
Te dire qu'il n'y a plus âme qui veuille
T'égarer dans cette froideur!
Personne, ne te prendra la main,
Ne choisira ton destin,
Ne chantera tes refrains,
Pas même l'ombre de toi même, mais bien le Phénix mais bien le Phénix