Molly Malone : prochain album
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du Syndicat National de l’Édition Phonographique qui attribuent un Album double Platine pour Molly Malone
Ce morceau gratuit est disponible pendant 24 heures le 6 janvier 2010
Et voici que s'achève déjà l'opération des 12 jours de cadeaux iTunes avec l'Adieu à Rhondda de Renaud, un single extrait de l'album Molly Malone, dans lequel le chanteur a repris nombre de balades irlandaises sur lesquelles il a posé ses propres textes.
L'album est par ailleurs disponible en deux versions sur l'iTunes store, l'une à 9,99 € comportant 13 titres, et l'autre à 12,99 € qui inclut en plus les mêmes titres en version instrumentale.
.... le même classement ! |
Après un démarrage décevant
la semaine dernière, Renaud confirme en
deuxième semaine. Son album "Molly Malone : Balade irlandaise" voit cependant ses ventes chuter de 37% à 21 601 exemplaires, qui s'ajoute aux 34 436 acheteurs de la 1ère , une chute limitée mais assez parlante |
Disques : Renaud en tête
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Reprises et adaptations en français, libres ou fidèles selon les cas, de vieux standards tirés du folklore irlandais , voilà le contenue proposé pour le prochain CD de Renaud dont le titre sera certainement "Molly Malone – Balade Irlandaise".
La sortie est prévue pour le 23 novembre 2009 (source : Aujourd'hui en France, et Pure People ) Dernières nouvelles de la FNAC (01/10/09): - Molly Malone est bien annoncé dans les bacs pour Novembre
L'album sortira en double vinyle (15 euros environ) et en CD digipack (23 euros environ).
Cet album sera le 16éme album studio de Renaud (en comptant l'album Les Introuvables) et semble s'inscrire dans le contrat signé début 2006 entre Renaud et EMI Music France pour 4 albums.
Dans les projets renaudiens depuis de nombreuses années, cet album commencera à prendre forme après La Tournée Rouge Sang, en 2008, où Renaud se mettra à l'adaptation des chansons. Si au départ l'idée est avancée d'enregistrer dans la foulée au printemps 2008, de fil en aiguille, l'enregistrement sera reporté au printemps 2009, à Dublin (Irlande), pour ce qui est des musiques, bénéficiant de musiciens irlandais (dont une partie de ceux qui étaient présents pour l'album "Marchand de Cailloux").
Message de Geoffrey Richardson
quelque part sur myspace
(09.04.09): source: L'homme qui a vu l'homme qui a vu le Renard ! Jeu 9 Avril |
En gros, répétitions finies
.... Il commence à enregistrer lundi 13/04 avec
Renaud, pendant 2 semaines à Dublin. |
Les voix ont été enregistrées en mai-juin 2009 en France à Meudon-la-Forêt
Les chansons de "Molly Malone" Haut de page
L'album comprendra 13 chansons.Il a fallu 2 années de travail à Renaud pour adapter ces chansons, des textes lus, relus et revus à sa manière. C’est un projet ambitieux, comme Renaud sait les mener.
Liste des 13 chansons qui seront présentes sur l'album ! (visiblement elles seront présentes en version normale et en version instrumentale seulement sur la première série de cd (pseudos collectors à 50000 ex) Infos du HLM le 3/11/2009
Molly Malone
Incendies
Willie McBride
Dubliners
La Ballade Nord-Irlandaise
A Carlingford
Te Marie Pas, Mary !
La fille de Cavan
Adieu à Rhondda
Je reviendrai
Johnston's Motor Car
Belfast Mill
Vagabonds
Vagabonds ( que l'on peut entendre en pré écoute le lundi 12 octobre sur le nouveau site) Le titre sera disponible à la vente sur www.renaud-lesite.fr et toutes les plates-formes digitales dès le 13 octobre.
Vous pouvez écoutez des extraits (de 30 secondes) de chacune des 26 chansons (avec paroles ou instrumental), en visitant le lien : Molly MaloneEn ECOUTE sur Amazon
Les musicos de "Molly Malone" Haut de page
Au printemps 2008, le réalisateur et arrangeur de l'album "Marchand de cailloux", Pete Briquette, est présentit pour participer à la réalisation de cet album. Aura-t-il finalement participé à l'enregistrement ?
L'enregistrement des musiques est réalisé en une quinzaine de jours à Dublin en avril-mai 2009, avec notamment :
- Geoffrey Richardson, qui a déjà participé à l'enregistrement de l'album "Marchand de Cailloux" et a accompagné Renaud au cours de plusieurs tournées
- Robbie Harris, percussionniste irlandais.A suivre donc .......
En Pré commande, dans vos sites préférés.
......> RENAUD le SITE
........> La FNAC
Pour gagner la chance de venir écouter en exclusivité l'album dans un pub près de chez vous, le samedi 21 novembre dans l'une des villes suivantes : Paris, Lille, Strasbourg, Nantes, Rennes, Lorient,Brest, Bordeaux, Toulouse, Marseille ou Lyon...
.Les gagnants seront prévenus jeudi.19 nov 2009
Quand, en 1991, Renaud enregistre La Ballade nord-irlandaise, ses amis et ses fans ne s’y trompent pas : il existe entre l’artiste et l’Irlande une filiation manifeste. Le titre restera d’ailleurs un incontournable sur scène. Tout était déjà dans cette adaptation très personnelle de The water is wide, chanson traditionnelle reprise par Bob Dylan, Joan Baez, Neil Young et tant d’autres encore, et qui, dès le XVIIème siècle, voyageait d’Irlande en Ecosse : le dégoût de la guerre, l’amour de la liberté, de la terre et de l’océan, et enfin, surtout, l’amitié scellée par la musique et le rire autour d’une pinte de bière.
Depuis lors, Renaud confiera régulièrement à ses proches son désir de chanter l’Irlande. Ce n’est une surprise pour personne : que l’artiste se fût pris d’amour pour un peuple d’insurgés, d’insoumis, qui pansent les plaies de l’histoire en chantant dans les pubs relevait de l’évidence.
En 1997, Renaud organise d’ailleurs, pour le plaisir, une tournée confidentielle en Irlande. Avec une poignée de musiciens et un technicien, il part chanter, en français, dans les pubs de Dublin, Derry, Belfast, Cork, Galway, Limerick… Sa seule promo : une affichette collée quelques jours plus tôt sur la vitrine de l’établissement. C’est un spectacle insolite et réjouissant que de le voir chanter sur des scènes minuscules, à la lumière d’une simple ampoule, pendant que le public irlandais, perplexe, découvre ce drôle de Français dont la plupart n’a jamais entendu parler. Il faut imaginer la tête des quelques Français qui, passant là par hasard, se demandent presque s’il s’agit bien du véritable Renaud Séchan ! Il faut aussi imaginer celle de Renaud en découvrant le poster posé par le patron du pub de Limerick sur sa vitrine, annonçant le concert du soir : « Tonight: Renaud, French gipsy political troubadour* ».
Les années passent, le projet mûrit, grandit dans un coin de sa tête, devient presque une arlésienne jusqu’à ce qu’enfin il voie le jour, après seize ans de gestation.En octobre 2007, Renaud décide de concrétiser ce vieux rêve et d’enregistrer Molly Malone, son album irlandais, qui sera dans la lignée des albums comme Le P'tit Bal du samedi soir et autres chansons réalistes, Renaud chante Brassens ou Renaud cante el’ Nord, où il rendait déjà un hommage aux hommes et aux terres qu’il aime.
Les musiques sont déjà là, certaines depuis plusieurs siècles, et la plupart ont fait leur preuve chaque vendredi soir dans les pubs de Dublin et d’ailleurs, ou bien sur scène avec des groupes de légende comme les Chieftains, les Dubliners ou les Fureys. Pourtant, quand pour la première fois on entend Renaud fredonner les ébauches de ses chansons irlandaises, comme ça, au coin d’une table, on est saisi par une impression troublante : cela lui ressemble tellement que les mélodies semblent avoir été écrites pour lui, par lui. Mais est-ce si étonnant ? Ce petit chanteur de rue, forçant l’accent titi parisien, ne fut-il pas, au fond, autant influencé par les protest song-writers anglo-saxons que par les géants de la chanson française ? Qui n’a jamais remarqué, caché derrière l’accordéon parisien, l’accent folk de ses tout premiers albums ? Renaud étant fan de Dylan, la musique irlandaise a déjà fait un détour en pays yankee avant d’arriver jusqu’aux oreilles du « bluesman » de la Porte d’Orléans.
Côté textes, il faudra plus d’un an de travail à Renaud pour adapter les treize titres qu’il a choisis. Mêlant adaptation fidèle et réinterprétation libre, il s’approprie la substantifique moelle de ces classiques de la musique irlandaise. Tout en conservant leur sens et leur rythme originels, ces titres deviennent du Renaud, du vrai Renaud. Les deux univers se marient si bien que les deux champs lexicaux ne font plus qu’un : liberté, amour, révolte contre l’oppression, mélancolie, exil, affection pour le petit peuple et les petits brigands... Dans Belfast Mill, on retrouve la nostalgie du monde ouvrier et on revoit presque le paternel se demandant, alors que l’usine a fermé, ce qu’il va faire de son bleu. Dans Adieu à Rhondda (qui, bien que chantée par de nombreux irlandais, fait en réalité référence au Pays de Galles), on s’attache à ces mineurs rêvant d’ailleurs, ceux-là mêmes que Renaud côtoyait déjà en chantant le Nord en 1993. Dans Dubliners, c’est l’amour de la ville et de ses quartiers populaires. Et l’inanité de la mort d’un jeune garçon fauché par la guerre dans Willy McBride ne fait-elle pas écho au Morts les enfants de l’album Mistral gagnant ?
Pour la réalisation, Renaud s’entoure à nouveau de ceux qui avaient travaillé, entre autres, sur Marchand de cailloux : l’Irlandais Pete Briquette, ancien bassiste des Boomtown Rats, réalisateur de Bob Geldof et dont le nom évoque lui-même la tourbe des terres d’Irlande, et l’Écossais Thomas Davidson Noton, musicien, producteur et complice de longue date. Quant aux musiciens, enfin, Renaud est allé les chercher et les enregistrer chez eux, à Dublin, au studio Windmill Lane : Geoffrey Richardson, le plus irlandais des Anglais (qui a déjà collaboré avec Renaud, mais aussi avec Caravan, Bob Geldof, Murray Head ou Chris de Burgh), Terry Woods (guitariste des Pogues), Paul Harrigan (virtuose des « Uilleann pipes », la cornemuse irlandaise), Emer Mayock (flûtiste et violoniste qui a accompagné de nombreux artistes irlandais ou français comme Alan Stivell), et enfin Robbie Harris (percussionniste de Riverdance). Là encore, l’évidence frappe. Les chansons de Renaud ne sont pas faites exclusivement pour être jouées par une cavalerie de musiciens sur de grandes scènes nationales. Elles sont aussi faites pour être jouées, avec à peu près rien, au fond d’un pub enfumé jusque tard dans la nuit. Un violon, une guitare, des percussions, et la magie opère.
Au final, ces treize titres ne sont pas seulement un hommage à une terre et un peuple que Renaud affectionne. Ils forment un album à part entière, un album original. À chaque nouvelle chanson, on finit par se demander si ce huguenot du quatorzième arrondissement ne nous aurait pas caché qu’il avait un peu de sang irlandais. C’est sans doute que l’amour et l’insurrection n’ont pas de patrie…
* Ce soir : Renaud, troubadour politique franco-manouche.
source: auwww.renaud-lesite.fr/
Date :
Juillet/août 2009
Source : Le HLM des fans de
Renaud, Wikipedia, le site de SVPAT sur Renaud, le site officiel de Romane
Serda, et diverses ressources sur le net.